Marina Tsvétaïeva
Marina Tsvétaïeva, née en 1892 à Moscou, émigre en 1922, après la Révolution d’Octobre. Après trois ans passés à Berlin et en Tchécoslovaquie, elle se rend à Paris, où elle vit de 1925 à 1938. Refusant « l’esprit de parti », elle n’est acceptée ni par les Rouges, qui l’accusent d’avoir trahi leur cause (notamment dans son recueil Le Camp des cygnes), ni par les Blancs, qui lui reprochent son admiration pour Maïakovski ou Pasternak. Elle retourne ensuite en URSS, et s’y suicide en 1941.
Bibliographie française
Aux éditions des femmes - Antoinette Fouque
- Des poètes, 1992
- Le gars, 1992 Réédition 2014
Autres éditeurs (bibliographie sélective)
- Mon frère féminin. Lettre à l’Amazone, Mercure de France, 1979
- Ariane, L’Âge d’Homme, 1979
- Le Conte de ma mère, Le Nouveau commerce, 1988
- Le diable et autre récits, L’Âge d’Homme, 1993
- Neuf lettres avec une dixième retenue et une onzième reçue, Clémence Hiver, 1985
- Mon Pouchkine, Clémence Hiver, 1988 – Actes Sud 2012
- Le temps qu’il fait : L’art à la lumière de la conscience, Clémence Hiver, 1988
- Averse de lumière, Clémence Hiver, 1989
- Histoire de Sonetchka, Clémence Hiver, 1991
- Phèdre, Actes Sud, 1991
- Lettres du grenier de Wilno. Lettres de Marina Tsvetaeva à Natalia Hajdukiewicz, Éd. des Syrtes, 2004
- Œuvres, Le Seuil, 2009
- Récits et essais, Le Seuil, 2011
Collections
- La Bibliothèque des voix
- La psychanalyste
- La philosophe
- Féminologie
- Luttes, solidarité, vie
- Luttes contre les violences
- Femmes de tous les pays
- Des femmes aiment des femmes
- Des femmes artistes
- Écrits d’hier
- Les femmes ont leurs raisons
- Du côté des petites filles
- La Bibliothèque des regards
- Penser avec Antoinette Fouque
- Des femmes aux programmes scolaires
- Des femmes en poche
- Jeunes adultes
Agenda
Cinquantenaire des éditions des femmes et femmage à Antoinette Fouque, exposition Mairie du 6e, Paris 6